L’affacturage pour Franchisés
La franchise est un moyen répandu et très efficace pour créer ou reprendre une entreprise, car elle permet à l’entrepreneur de bénéficier des services et de la notoriété d’une marque existante pour développer son entreprise.
En contrepartie d’une rémunération au « franchiseur », l’entreprise ainsi créée (« le franchisé ») bénéficie d’accord commerciaux lui permettant d’utiliser une marque et/ou une expertise, de se fournir auprès d’une centrale d’achat dont le catalogue répond spécifiquement à ses besoins (et à prix réduits grâce à un effet volumes non négligeable), ou tout simplement de recevoir des conseils et une assistance dans la gestion de la société sur le long terme.
Les secteurs d’activité ayant le plus recours à ce mécanisme de franchises sont par exemple :
- L’hôtellerie / restauration (chaînes de restauration rapide type burger, pizza, tacos…)
- Le commerce alimentaire (boulangeries, chocolatiers, caviste…)
- Les services aux particuliers et entreprises (crèches, services à la personne…)
- La beauté et la santé (fitness, esthétique, salles de sport…)
En quoi l’affacturage est-il une solution intéressante pour le secteur de la franchise ?
La franchise est un moyen répandu et très efficace pour créer ou reprendre une entreprise, car elle permet à l’entrepreneur de bénéficier des services et de la notoriété d’une marque existante pour développer son entreprise.
En contrepartie d’une rémunération au « franchiseur », l’entreprise ainsi créée (« le franchisé ») bénéficie d’accord commerciaux lui permettant d’utiliser une marque et/ou une expertise, de se fournir auprès d’une centrale d’achat dont le catalogue répond spécifiquement à ses besoins (et à prix réduits grâce à un effet volumes non négligeable), ou tout simplement de recevoir des conseils et une assistance dans la gestion de la société sur le long terme.
Les secteurs d’activité ayant le plus recours à ce mécanisme de franchises sont par exemple :
- L’hôtellerie / restauration (chaînes de restauration rapide type burger, pizza, tacos…)
- Le commerce alimentaire (boulangeries, chocolatiers, caviste…)
- Les services aux particuliers et entreprises (crèches, services à la personne…)
- La beauté et la santé (fitness, esthétique, salles de sport…)
L’affacturage peut être intégré à une stratégie de financement du besoin en fonds de roulement à deux niveaux.
Pour le franchisé intervenant dans le domaine du B2B (ventes de biens ou services aux entreprises), l’affacturage permet d’obtenir une avance de trésorerie simple et rapide, permettant de rendre sa franchise plus autonome et indépendante de la marque qu’elle commercialise. En cédant ses factures à un factor, le franchisé finance son BFR et réduit ainsi son besoin d’apport en fonds propres pour accompagner la croissance de sa franchise.
Pour le franchiseur, il est tout à fait possible d’avoir recours à de l’affacturage pour financer les factures émises sur son réseau de franchisés. En effet, la relation entre un franchiseur et un franchisé s’apparente à celle entre un fournisseur et son client professionnel, même si quelques spécificités doivent être prises en compte.
L’émission d’une facture entre deux entités ayant un lien capitalistique ne peut pas être assuré ni financé, c’est ce qu’on appelle plus couramment « du papier de famille »
Affacturage d’un réseau de franchisés : quelles questions se poser ?
Pour les entreprises n’ayant pas encore recours à l’affacturage…
Au moment de l’entrée en procédures amiable ou collective, l’affacturage peut être mis en place très rapidement et être la solution d’urgence pour l’entreprise qui va soulager la trésorerie immédiate en s’appuyant sur un actif liquide.
Les critères importants à respecter pour aller vite sont :
- Une vérification accrue des critères de factorabilité des créances de l’entreprise
- L’assurance que l’entreprise ne va pas stopper brutalement son activité immédiatement après l’obtention du financement par le factor. Pour cela le dirigeant doit discuter avec la société d’affacturage qui va se faire un avis sur sa capacité à proposer un plan de continuation réaliste
Dans cette phase d’urgence, le contrat d’affacturage proposé ne sera bien sûr pas aussi optimal que lorsque la société était in bonis, mais il est possible d’obtenir de très bonnes conditions qui pourront être renégociées quand les jours meilleurs viendront. Contacter QuelFactor dans ce contexte peut s’avérer très avantageux et vous faire gagner un temps précieux pour trouver le factor qui saura apprécier la qualité du plan de continuation proposé.
Lorsqu’un contrat factor est déjà en place…
Il est fort probable que le factor resserre ses conditions et envisage même de rompre le contrat s’il estime que le risque de liquidation est important.
En effet, les risques sont accrus pour votre banque qui peut se retrouver confrontée aux difficultés suivantes :
- Vos clients peuvent contester plus facilement le montant des factures dues à votre société et refuser de payer (risque de dilution accru pour le factor)
- La compensation pure et simple : lorsqu’un client est également un fournisseur de l’entreprise défaillante, il va probablement compenser les sommes dues entre elles et refuser de payer la société d’affacturage. Le risque de compensation naît également lorsque votre entreprise accorde des remises de fin d’années à ses clients dans la grande distribution par exemple, des fournitures d’outillage dans la sous-traitance automobile ou aéronautique, la fourniture de carburant dans le transport…)
- Risque d’action directe d’un Sous-traitant : la loi du 31 décembre 1975 stipule qu’en cas de défaillance de l’Entreprise principale, le sous-traitant va réclamer le paiement de la partie que le client a sous-traité directement auprès du débiteur cédé (le Maître d’Ouvrage). Le paiement des factures dues au factor peut donc être redirigé vers le sous-traitant dans la cadre de la procédure collective, sans possibilité de recours pour la société d’affacturage.
- Clause de réserve de propriété : un fournisseur peut légalement récupérer une marchandise non transformée chez un des clients de l’entreprise défaillante. La facture est ainsi caduque, et la société d’affacturage ne recevra jamais le paiement de celle-ci.
Il est néanmoins possible de contrer cela en ayant recours à un courtier en affacturage qui vous aidera :
- A revoir et négocier les niveaux de financements, exclusions diverses de clients…
- A limiter les hausses de commission d’affacturage ou de commission de financement
- A évaluer l’appétit des autres sociétés d’affacturage qui peuvent être davantage disposées à reprendre le financement et assurer sa pérennité malgré le contexte difficile
Les secteurs d'activité sur lesquels nous intervenons
E-commerce
Défense / Sécurité
Téléphone : 01 55 12 10 24
contact@quelfactor.fr
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